ITSASONDOAN: Couverture SAINT-JEAN-DE-LUZ Page d'Accueil |
---|
C'est déjà un siècle depuis le brillant début de
cet Hôtel. Nombreuses maisons d'à côté ont changé, mais, voilà, ici continue ce charmant BÂTIMENT, qu'illustre encore le récit de la vie d'une période (3 histoires) du début du XXe siècle. Le fil de leur histoire s'est perdu, mais leur aura retient aujourd'hui le regard Portrait fascinant d'une beauté unique, d'un temps où dames et messieurs de terres lointaines venaient pour jouir du paysage, la plage et ses appréciées thalassothérapies, qui continuent encore à travers de la côte basque. Son singulier présence témoignage et célèbre que certaines excellences du passé, ils résistent aux temps. |
---|
La résidence dispose d'une gardienne (-sweet- Caroline), qui habite là même, attentive en face aux problémes,
s'ils y auraient. Il y a un Parking à l'entrée, dedans de l'enceinte, pour l'usage exclusif des hôtes (on laisse un commande pour ouvrir le portillon). (Voir Information Circulaire) |
---|
Après nombreuses tentatives de faire face aux ravages de la mer (l'Océan Atlantique dévastait le front de mer) pendant deux siècles, du XVIIème siècle (avec l'architecte célèbre Vauban) au XIXème siècle,
et qu'avaient toujours échoué par des raisons financières surtout, c'est vers finals du XIXème siècle quand la transformation de la promenade est consolidé, après que des digues ont été construites pour protéger la ville. Elles freinent les courants et cassent les vagues. Là circulera le train, à l'ombre du développement et célébrité des bains de mer,
en terminant la promenade jusqu'à la colline (quartier Sainte Barbe) vers 1932.
L'Hôtel, appelé du Golf, qui doit son nom parce qu'à cette époque-là le Golf se trouvait à côté, s'érige entre 1903 et 1905, comme palais neo-basque. Déployé comme un éventail, avec sa belle façade protégée du vent de l'ouest, il a été dessiné par l'architecte François-Joseph Cazalis, qui résidait à Baiona. |
---|