Itsasondoan: Couverture                                                CIBOURE                                                        Page d'Accueil
De l'appartement, à 100 mètres, en direction du port, nous trouvons le quai Ravel,
où se trouve la maison natale, du type hollandais (avec arcs et briques, de 1636), du musicien Maurice Ravel.
Après, bien qu'il arrivât souvent à la ville, il ne pouvait pas se loger là, puisque ses parents l'avaient louée.
Ravel parlait couramment le basque, comme sa mère, Maria Deluarte ("cette présence chère silencieuse qui m'enveloppait avec sa tendresse infinie"),
qu'avait connu le père de Ravel, un
ingénieur suisse, quand celui-ci est venu à travailler à cause de la construction ferroviaire Irún-Madrid.
À quelques mètres se trouve une belle maison de façade vitrée, domicile particulier d'une ex-ministre française (qu'avait été mairesse de Saint-Jean-de-Luz), aujourd'hui
loué en saisonnière par Interhome
. Il est très recommandable la visite de l'Église Saint Vincent (1551~1572), où c'était baptisé Ravel, et se trouve juste derrière, avec son clocher octogonal de type oriental. Avec de beaux retables et son étage en bois, il est d'un style antique basque unique.
À côté de l'Hôtel de ville se trouve l'Office de Tourisme de Ciboure, où ils sont offerts toute sorte de brochures avec information
sur las possibilités de l'actualité de la ville et ses environs.
            [
Intro a Ravel, par les Sœurs Labèque][
Pavane pour une infante défunte]             (Huile central, par Natacha Best, 1999)

À 40 mètres de l'appt
se trouve ce Fronton,
qui reste encore très similaire à cette peinture d'il y a quelques décennies,
et où n'importe qui peut librement jouer la balle.

À côté, il y a un espace pour garer,
gratuit, qui est contigu
avec la Mairie de la ville.

À côté, aussi, dans les maisons
qui sont observées, se trouve
une paire de bars d'atmosphère
simple, aimable et cosmpolite,
où se mélangent parfaitement
le basque, l'espagnol,
l
'anglais et le français.

Là, par exemple, le 'Maitenia' (ou proche, le 'Atalaia'), des bistrots convivials et pas chers, avec ses terrases, où picoter de bons pintxos
(= 'tapas' en espagnol), avec des produits de saison comme merlu ou sardine, le ris d'agneau...

Orson Welles utilise ce lieu et l'entrée de l'Église de Saint Vincent (en bas, dans un tableau de fins du XIXe siècle, de Louis Emile Adan), qui se trouve à 80 mètres, pour montrer des enfants
et aussi des prêtres en jouant la pelota dans certains
des scènes de son documentaire sur la balle basque, en 1955, comme ils se montrent dans ces quatre photogrammes.
Au cœur de la vieille ville
des braves pêcheurs basques
,
le centre antique de l'une des villes côtières
qui maintiennent encore
son charme traditionnel basque,

Autour, les plages de Socoa
et Saint-Jean-de-Luz.

À côté du Fronton et la Mairie,
là même, les dimanches,
il y a un marché populaire
où s'offrent
les produits de la région.

Aux environs,
des commerces et des bons restaurants,
avec une sortie rapide pour l'autoroute A-63
(à côté du Centre Commercial "Leclerc",
à 2 km de l'Appartement),
d'où Biarritz se trouve à 14 km,
et Saint-Sébastien à 28 km.
Ville de peintres, on peut trouver de beaux tableaux sur les incroyables paysages d'autour.
Ciboure est un village particulièrement attachant, à découvrir ses petites ruelles pleines de charme, presque toujours désertes,
avec des maisons typiques
.
D'ici, se promener autour de la baie c'est devenue une expérience émotive différente
.
                                                       Sokoaren ikuskera
             Ikuskerak 2010 
 
 
Jetée, Ciboure Août 1951, par Robert CAPA

AUTOUR, DES BEAUX VILLAGES.

Par exemple: ESPELETTE, à 23 km de l’appartement (par la route D307 et après D918),
fait honneur à la gastronomie locale avec ses PIMENTS, qui se marient divinement à la viande de veau
ou aux poivrons, avec quelques pommes de terre à l’ail, sous forme de sauces diverses, séché entier ou en poudre. Le piquant de ce piment est estimé 4/10 sur l’échelle d’évaluation.
Arrivé par bateau du Mexique vers 1650, c'est las eule épice labelissée AOC et AOP.
Célébre par sa délicatesse aromatique, la récolte se fait à partir d'août, puis les piments séchés sont réduits
en poudre ou décinés en produits gourmets (gélée, confiture, moutarde...).

Des cordelettes de piment mis à sécher recouvrent les façades, ce qui constitue la connue carte postale.
Comme tous les noms basques il a une signification, dans ce cas ‘lieu planté de buis’.
Le nom aussi de son château, des barons d’Ezpeleta, qui accueille maintenant la mairie et l’office de tourisme,
où on y peut trouver une exposition sur le piment dans le monde.

                                                           À droit: Espelette, les piments. Erwin DAZELLE Acrylique sur toile 2002